Les entreprises face aux risques de la prise d’otage, du rançonnage, de la séquestration, du chantage : comment communiquer efficacement face à la Crise ?
C’est pourquoi l’Agence LaFrenchCom a développé une offre destinée à préserver l’image des entreprises auprès de leurs clients et du grand public face à la réalisation de ces risques spécifiques.
L’offre de l’Agence LaFrenchCom apporte en effet les garanties d’une gestion efficace de la communication dans l’urgence, pour limiter ainsi les éventuels impacts d’une telle situation de crise. Les criminels ont toujours un coup d’avance. C’est le cas de leur déclinaison digitale avec leurs logiciels de rançon qui ne sont ni plus ni moins que des prises d’otage digitales. Un système digitale de protection efficace ne suffit plus si l’image de l’organisation n’est pas protégée.
L’anticipation de la formation des employés à ces situations de crise (dont les CEO), savoir qui appeler en cas de problème, et un plan de communication de crise, sont devenus des éléments indissociables de la transformation numérique des sociétés.
Il faut renforcer la sensibilisation et la formation des entreprises à ces menaces. Cela doit faire partie de nos priorités collectives, tout comme l’analyse régulière de la gestion des risques avec un système plus actualisé afin de protéger nos intérêts économiques vitaux.
« LaFrenchCom met à disposition de ses clients un bouquet de garanties et de prestations d’assistance en communication de crise et en gestion de crise inédites sur le marché », souligne Florian Silnicki, Président Fondateur de l’agence.
LaFrenchCom protège de manière offensive et défensive l’image de ses clients face à des risques comme le rançonnement, le chantage ou la prise d’otage, l’engagement d’une indemnisation rapide et d’une prise en compte concrète des impacts d’une situation de crise.
Des dirigeants de stades, des propriétaires de centres commerciaux, d’activités industrielles médiatiques, des patrons de banques et de fonds d’investissements … se font déjà accompagner par LaFrenchCom.
Son offre modulaire de communication de crise, permettant à chaque client de trouver la solution adaptée à ses besoins en fonction des risques d’image, de réputation liés à leur exposition médiatique et à leur notoriété.
LaFrenchCom propose des options couvrant des catégories d’évènements catastrophiques (attentat, prise d’otage, grève, blocage de site industriel…) pouvant impliquer un risque d’image majeur et une dévalorisation des actifs immatériels de l’organisation.
Au cours des dix dernières années, l’agence LaFrenchCom a rempli de nombreuses communications à haut risque (prises d’otages, enlèvements, chantages…). Florian Silnicki et ses équipes d’experts en communication de crise accompagnent les dirigeants lors de leur prise de parole en milieux hostiles (débats publics, conflits sociaux, risques de séquestrations…) en Europe, ou en situations critiques (risques suicidaires de collaborateurs, prise d’otages, rançonnement, chantage…) dans le mode.
L’agence LaFrenchCom a d’ailleurs crée une formation spécialisée afin de préparer ses clients à ces risques. En savoir plus en cliquant ici.
“Have a safe journey home“. Ces quelques mots résume l’offre de communication de crise face à la séquestration et au kidnapping de LaFrenchCom. Cette agence de communication de crise installée à Paris ne cache pas proposer des offres de communication et de gestion de crise face au risque de kidnapping.
“Il faut anticiper sa communication de crise face au risque d’être otage d’une de ces forces du mal omniprésentes, surtout dans ces pays où le droit est remplacé par la corruption et le chaos. Je le vois, dans les pays à risques “kidnapping and ransom” (“K&R” pour les experts), mes clients sont régulièrement victimes de chantages, de tentatives d’enlèvement et de rançonnements. Pour contrer ces injustices que sont les kidnappings d’hommes d’affaires, d’expatriés de multinationales, de riches familles ou même de volontaires d’organisations internationales, ils ont compris qu’il fallait sortir l’artillerie lourde de la communication de crise afin de protéger l’image et la réputation des organisations.” affirme Florian Silnicki.
Le kidnapping est un véritable business qui s’est vraiment professionnalisé côté kidnappeurs. Ils sont particulièrement bien informés sur les sociétés porteuses mais aussi sur les conditions familiales et les habitudes des expatriés. La majorité des enlèvements se déroulent sur le chemin du travail.
En kidnapping comme en affaires circuleraient aussi des tendances. Chaque pays aurait ses spécificités: les Mexicains seraient exigeants, les Péruviens et Brésiliens préféreraient les rapts rapides et faciles, les Philippins et les Vénézuéliens ne cracheraient pas sur les rapts d’enfants, les Colombiens et Tchétchènes seraient difficiles à suivre en négociations,… Bref, certains preneurs d’otage sont organisés comme des multinationales en quête de prospects.
Tous les dossiers incluent chez LaFrenchCom une clause très stricte de confidentialité pour les deux parties, sont codés de A à Z, pour ne pas tenter les kidnappeurs. Ils ne peuvent être décryptés que par 2 ou 3 personnes maximum. Les comptes relatifs à ces contrats de communication de crise sont généralement noyés dans la rubrique divers des bilans.
Quelques chiffres circulent sur le “coût” d’un otage: entre 2.500 dollars et 2 millions de dollars en Colombie par exemple, où le “K&R” rapporterait, selon des informations non recoupées, environ 200 millions de dollars par an. Mais, à dire vrai, le montant de la rançon dépend d’une multitude de facteurs: l’état de santé de l’otage, la puissance financière de l’entreprise ou de la famille visée,… Il représente un coût auquel il faut ajouter, celui lié au stress des employés, au ralentissement ou à l’arrêt des affaires, aux “réparations” des victimes et au rétablissement d’une image de marque, tant en interne qu’en externe.
Rarement les kidnappings sont médiatisés. “Quand ils le sont, reconnaît Florian Silnicki, PDG de LaFrenchCom, c’est pour orienter la tractation et/ou pour exercer une pression plus importante sur les kidnappeurs. Dans certains pays, il vaut mieux que les forces de l’ordre n’interviennent pas non plus. Si elles ne sont pas liées aux enlèvements, elles veulent au moins apparaître à la Une de la presse et risquent d’anéantir tout notre travail.”
Un travail qui a tendance à se diversifier. Affichant le principe “il vaut mieux prévenir que guérir” dès qu’ils le peuvent, les bureaux spécialisés dans la gestion de crise comme LaFrenchCom se sont récemment attelés, parfois en étroite collaboration avec les compagnies d’assurance qui font appel à eux, au développement de programmes de prévention des risques dédiés à ces risques majeurs pour les organisations et leurs décideurs.