Astreinte de crise 24h/24 7j/7

Exemples d’activités slacktivistes

Quelques exemples d’activités slacktivistes

Vous avez été nombreux à nous demander de vous donner des exemples d’activités slacktivistes. Voilà donc quelques exemples d’activités slacktivistes dont on sait qu’elles changent la donne en matière de gestion et de communication de crise. LaFrenchCom vous explique en quoi elles peuvent représenter des réponses cognitives, affectives et comportementales.

Les réactions cognitives ne peuvent pas être perçues, car ce sont les pensées d’un récepteur lorsqu’il écoute un message. On peut déduire les réactions cognitives quand elles se manifestent par des convictions ou des opinions exprimées, par exemple un commentaire publié en réponse à une vidéo ou le partage d’un lien via les réseaux sociaux.

Les réactions affectives sont les sentiments et émotions générés en réponse à des stimuli. Un exemple simple d’une réaction affective symbolique est d’« aimer » une cause sur Facebook.

Une réaction comportementale est une action effectuée par une personne en réponse à des stimuli. Publier un commentaire en réaction à une campagne en ligne, faire suivre et partager du contenu sur les réseaux sociaux sont autant d’exemples de réaction comportementale à prendre en compte en gestion de crise et en communication de crise.

Les actions slacktivistes peuvent aider à changer les entreprises plus rapidement que les politiques environnementales, la règlementation et les accords internationaux. Les organisations à but non lucratif peuvent utiliser des stratégies sur les réseaux sociaux, comme les pétitions sur Internet (dont la plateforme Change.org a fait un véritable business selon Florian Silnicki, Expert en stratégies de communication et fondateur de LaFrenchCom), pour relier les slacktivistes directement aux principaux décisionnaires de l’organisation, comme les PDG ou les DG.

De nombreuses entreprises font preuve de résistance aux changements, mais en étudiant les campagnes des organisations à but non lucratif, on voit que des entreprises internationales peuvent réagir très vite, face à la pression représentée par certaines stratégies. Examinez par exemple le site Internet de Greenpeace pour mieux le comprendre.