Bad buzz, fake news (fausse nouvelle), name & shame (citer pour faire honte), l’infobésité prolifère. L’environnement de l’information mute de plus en plus vite. Le paysage médiatique est saturé. Les risques réputationnels sont multiples et protéiformes. L’agence LaFrenchCom vous accompagne ainsi en cas de médiatisation pénalisante afin de protéger votre réputation.
Les experts en gestion de crise de l’agence assurent, par exemple, votre communication de crise après la publication d’un article d’investigation à charge contre votre entreprise ou ses produits. De plus, les prises de positions d’activistes et d’Organisations Non Gouvernementales (ONG) peuvent rapidement se viraliser en utilisant les réseaux sociaux ou les nouveaux médias comme le média militant écologiste Vakita d’Hugo Clément.
Fort d’une méthodologie et de procédures éprouvées, nous vous aidons à vous défendre et à vous expliquer afin de maintenir la confiance des parties-prenantes. Les consultants spécialisés de l’agence LaFrenchCom forment en outre l’ensemble de vos employés pour éviter une sur-crise en cas d’attaque médiatique.
La communication de crise face au “name & shame”
Les spécialistes de la communication de crise font face au “name & shame” quotidiennement. S’ils sont si efficaces, c’est parce qu’ils ont étudié finement comment les entreprises et les organisations peuvent gérer efficacement les accusations de mauvaise conduite ou de comportements répréhensibles qui peuvent être rendus publics par les médias sociaux ou d’autres canaux de communication.
Les techniques de gestion de crise et les stratégies de communication peuvent être utilisées pour minimiser les dommages potentiels à la réputation de l’entreprise et pour répondre aux accusations. Il est important pour les entreprises de surveiller en permanence leur image de marque et de réagir rapidement et efficacement lorsqu’une situation de “name & shame” se présente.
Il existe plusieurs stratégies de communication de crise qui peuvent être utilisées pour gérer les accusations de “name & shame”.
- La première est de reconnaître immédiatement l’émotion qui s’exprime face aux accusations et de présenter des excuses sincères pour tout comportement répréhensible.
- La deuxième est de fournir une explication complète et transparente de ce qui s’est passé et de montrer comment l’entreprise compte remédier à la situation.
- La troisième est de montrer des actions concrètes pour empêcher que cela ne se reproduise à l’avenir.
Il est également important pour les entreprises de surveiller en permanence leur image de marque et de rester vigilantes face aux accusations potentielles de “name & shame” (citer sur les réseaux sociaux et faire citer par la presse). Les médias sociaux peuvent jouer un rôle clé dans la désinformation et la propagation de fausses nouvelles, il est donc important pour les entreprises de surveiller ces canaux et de réagir rapidement et efficacement aux accusations.
En outre, il est important pour les entreprises de maintenir une bonne communication avec leurs parties prenantes, comme les actionnaires, les employés et les clients, pour gérer les attentes et les inquiétudes qui peuvent survenir lors d’une situation de “name & shame”.
L’entreprise face au “name & shame”
Lorsqu’une entreprise est confrontée à des accusations de “name & shame”, cela peut avoir des conséquences graves pour sa réputation et ses finances. Les consommateurs peuvent boycotter les produits ou services de l’entreprise, les partenaires commerciaux peuvent rompre des contrats, et les actionnaires peuvent vendre leurs actions.
Il est donc crucial pour les entreprises de gérer efficacement les accusations de “name & shame” pour minimiser les dommages potentiels à leur réputation. Les entreprises peuvent utiliser des stratégies de communication pour répondre aux accusations, comme la reconnaissance immédiate des erreurs, des excuses sincères, une explication complète de ce qui s’est passé et des actions concrètes pour empêcher que cela ne se reproduise à l’avenir.
Il est également important pour les entreprises de maintenir une bonne communication avec leurs parties prenantes, telles que les actionnaires, les employés et les clients, pour gérer les attentes et les inquiétudes qui peuvent survenir lors d’une situation de “name & shame”.
En outre, les entreprises peuvent prendre des mesures préventives pour éviter les situations de “name & shame” en mettant en place des systèmes de conformité et de surveillance pour assurer le respect de la loi et de la réglementation, en instaurant des codes de conduite éthique pour les employés et en mettant en place des protocoles de gestion de crise pour gérer les situations d’urgence.
Il y a eu de nombreux exemples d’entreprises qui ont été confrontées à des accusations de “name & shame” au cours des dernières années.
- En 2011, la société de prêt américaine Wells Fargo a été accusée d’avoir créé des comptes bancaires fictifs pour des clients sans leur consentement. La société a reconnu les erreurs commises et a présenté des excuses publiques, tout en mettant en place des mesures pour empêcher que cela ne se reproduise à l’avenir.
- En 2016, la marque de vêtements Gap a été accusée de violer les droits des travailleurs en utilisant des usines de confection en Asie où les employés étaient soumis à des conditions de travail inacceptables. La marque a reconnu les problèmes et a mis en place des programmes pour améliorer les conditions de travail dans ses usines.
- En 2018, la société américaine Facebook a été accusée de ne pas avoir protégé les données personnelles de ses utilisateurs et de les avoir vendues à des tiers sans leur consentement. La société a reconnu les erreurs commises et a mis en place des mesures pour renforcer la sécurité des données.
- En 2020, l’entreprise américaine Nike a été accusée d’utiliser des matières premières qui ont été produites de manière non éthique. La marque a reconnu les problèmes et a mis en place des programmes pour améliorer les pratiques d’approvisionnement et soutenir les communautés affectées.
- En 2019, la marque de fast-food McDonald’s a été accusée de ne pas respecter les normes d’hygiène et de sécurité alimentaire dans ses restaurants en Inde. La marque a reconnu les problèmes et a mis en place des mesures pour améliorer les normes d’hygiène et de sécurité alimentaire.
- En 2019, la marque de cosmétiques L’Oréal a été accusée de tester des produits sur des animaux. La marque a reconnu les erreurs commises et a annoncé qu’elle allait mettre fin aux tests sur les animaux.
- En 2020, l’entreprise britannique British American Tobacco a été accusée de corruption et de lobbying illégal dans certains pays d’Afrique et d’Asie. La société a reconnu les erreurs commises et a mis en place des mesures pour renforcer ses politiques de conformité et d’éthique.
- En 2021, la marque de fast-food Subway a été accusée de ne pas respecter les normes d’hygiène alimentaire dans ses restaurants au Royaume-Uni. La marque a reconnu les erreurs commises et a mis en place des mesures pour améliorer les normes d’hygiène.