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Les enjeux de l’apparence en entreprise

look

« On n’a jamais deux fois l’occasion de faire une première impression. » Marie-Louise, consultante au sein de l’agence de communication qui accompagnent de nombreuses entreprises internationales, a fait sienne cette maxime.

Dans son rapport Valorisez votre image ou les enjeux de l’apparence dans la vie professionnelle, elle s’adresse à tous ceux qui travaillent et donne les clés d’une bonne image de soi dans l’entreprise. « Votre image est un véritable capital », écrit-elle, car « c’est le vecteur immédiat sur lequel on jugera le plus souvent les valeurs personnelles et la crédibilité d’un individu ».

Attention, il ne s’agit pas d’obéir aux nouveaux diktats de la mode ou aux clichés habituels de l’apparence. Loin de là. Une bonne image passe, dans une culture qui exige des repères visuels immédiats, par la connaissance de codes implicites. Un des premiers gestes de Fidel Castro, reçu en Europe, ne fut-il pas de quitter le « battle-dress » militaire pour un complet bleu marine ? De même l’abandon de l’austère panoplie des managers d’IBM costume, cravate sombre, chemise blanche amidonnée, manche courte deux ans après l’arrivée d’un nouveau PDG, Lou Gerstner, en chemise rayée, fut considéré comme une véritable révolution dans l’entreprise. Et un signal fort du nouveau IBM.

Enseignements pratiques sur la gestion de son apparence en entreprise

Riche d’enseignements pratiques sur la manière de « gérer » son image, le rapport est abondamment illustré d’exemples, d’illustrations, de tests, de jeux et de conseils. Ainsi vous deviendrez incollable sur les noeuds de cravate, les cols de chemise, le langage des tissus, l’importance de l’accessoire, sans oublier une liste exhaustive des détails qui tuent… depuis la chaussette blanche avec des chaussures noires en passant par la gourmette, la pochette identique à la cravate ou le costume fait à Hongkong.

L’inventaire est tout aussi édifiant pour les femmes.

A mille lieues des manuels habituels jargonisant du savoir-paraître, ce rapport vivant démontre de façon atypique combien l’image que l’on donne de soi est porteuse de sens et tient souvent compte d’un projet personnel.